Sans qu’il sache pourquoi, Christophe a été circoncis lorsqu’il était encore un nourrisson. Cette opération l’a profondément affecté sur le plan psychologique et sexuel. Après un important effort, il nous livre son témoignage, une démarche qui lui a fait du bien.
En 2020, Droit au Corps a réussi à concrétiser le dernier axe de sa vision, ce qui signifie que les bases de la stratégie établie en 2015 sont enfin totalement déployées. À partir de 2021, l’association va pouvoir monter les murs de cette stratégie, à partir de ces fondations.
Le Dr Lacroix a publié une vidéo dont le message principal est « Laissons les jeunes prépuces tranquilles ! », auquel Droit au Corps souscrit totalement.
L’association Didi – Prévention des violences sexuelles a lancé une campagne de prévention intitulée « J’ai osé ».
Lettre ouverte à Claire Hédon, Défenseure des droits, sur l’angle mort de la défense des droits des enfants.
Invitée par des proches à une brit milah (circoncision juive), Ninna a été extrêmement choquée et durablement affectée par la brutalité du geste, auquel elle n’était pas du tout préparée. Depuis, elle n’a de cesse d’informer et de sensibiliser ses proches et ses connaissances à propos de ce qu’elle considère comme une mutilation.
L’Observatoire de la santé du pénis entre en fonction. L’objectif est de mettre un coup d’arrêt rapide à la situation catastrophique que l’on connaît encore au XXIe siècle.
Vincent a été circoncis lors de son adolescence. Aujourd’hui âgé de 23 ans, il a souhaité partager les souffrances qui en ont résulté. Voici son témoignage.
La Journée mondiale pour l’autonomie génitale a lieu chaque année le 7 mai. Cette huitième édition est marquée par le lancement de la Coalition internationale pour l’abandon des mutilations sexuelles.
Circoncire les enfants est le problème, et non la solution : les pouvoirs publics doivent se poser la question du déremboursement de la circoncision.